Le harcèlement psychologique au travail est une grave menace pour la santé psychologique des employés, un casse-tête pour les propriétaires de petites et moyennes entreprises (PME) de la grande région de Montréal aux prises avec un tel problème, et une source importante de toutes les plaintes réglées par les conciliateurs ou bien entendues par les tribunaux et les arbitres de griefs. Mieux vaut prévenir que guérir, et agir promptement lorsqu’aux prises avec un problème de harcèlement psychologique, souvent pernicieux et démoralisateur pour le salarié harcelé le poussant parfois à s’absenter du travail pour cause de maladie.
Des cris, des menaces, des reproches formulées devant tous les autres collègues de travail, parler sur un ton agressif et menaçant, les accusations mal fondées humiliantes, les critiques devant les clients et l’emploi de la force physique contre un employé sont tous des exemples patents de harcèlement psychologique. Il y a des situations moins évidentes de harcèlement psychologique au travail, raison de plus pour les employeurs de retenir les services d’un avocat et, selon les moyens et la taille de l’entreprise, un enquêteur spécialisé en harcèlement psychologique. Les employés et propriétaires de petites et moyennes entreprises (PME) seront étonnés d’apprendre que le recours de l’employé pour dénoncer le harcèlement psychologique au travail au Québec est relativement récent (i.e. depuis juin 2004) et presqu’inexistant au Canada pour les employés du secteur fédéral (banques, télécommunications, maritime, ferroviaire, etc.) et les fonctionnaires fédéraux du gouvernement du Canada. Le harcèlement psychologique au travail peut prendre plusieurs formes, il peut s’agir de harcèlement moral, de harcèlement organisationnel et de harcèlement sexuel. Au fédéral, avec l’état du droit actuel en date de la rédaction du présent article, l’on pourra dénoncer plutôt une situation de « violence en milieu de travail » minant la santé et sécurité de l’employé, ou bien dénoncer une situation de harcèlement discriminatoire. Est-ce réellement du harcèlement psychologique ? Quelle est la responsabilité de l’employeur ? Quels sont les recours du salarié harcelé ? Québec, Canada, pourquoi les différences ?
Des cris, des menaces, des reproches formulées devant tous les autres collègues de travail, parler sur un ton agressif et menaçant, les accusations mal fondées humiliantes, les critiques devant les clients et l’emploi de la force physique contre un employé sont tous des exemples patents de harcèlement psychologique. Il y a des situations moins évidentes de harcèlement psychologique au travail, raison de plus pour les employeurs de retenir les services d’un avocat et, selon les moyens et la taille de l’entreprise, un enquêteur spécialisé en harcèlement psychologique. Les employés et propriétaires de petites et moyennes entreprises (PME) seront étonnés d’apprendre que le recours de l’employé pour dénoncer le harcèlement psychologique au travail au Québec est relativement récent (i.e. depuis juin 2004) et presqu’inexistant au Canada pour les employés du secteur fédéral (banques, télécommunications, maritime, ferroviaire, etc.) et les fonctionnaires fédéraux du gouvernement du Canada. Le harcèlement psychologique au travail peut prendre plusieurs formes, il peut s’agir de harcèlement moral, de harcèlement organisationnel et de harcèlement sexuel. Au fédéral, avec l’état du droit actuel en date de la rédaction du présent article, l’on pourra dénoncer plutôt une situation de « violence en milieu de travail » minant la santé et sécurité de l’employé, ou bien dénoncer une situation de harcèlement discriminatoire. Est-ce réellement du harcèlement psychologique ? Quelle est la responsabilité de l’employeur ? Quels sont les recours du salarié harcelé ? Québec, Canada, pourquoi les différences ?