Le syndicalisme et la négociation de convention collective est largement présent dans l’histoire de l’industrialisation du Québec. Les premiers syndicats sont apparus au 19e siècle et certains diront que les syndicats ont contribué à l’émancipation des canadiens-français sur le marché du travail, à la protection de la langue française au travail et à l’équité salarié entre les hommes et les femmes. La négociation de convention collective, le lock-out, le piquetage et les grèves syndicales ont fait coulé beaucoup d’encre, et même à certaines périodes de l’histoire, du sang, si l’on pense notamment à la grève de l’Amiante en 1949 dans un Québec sous l’égide du premier ministre Maurice Duplessis, et ont permis des avancements remarquables pour les travailleurs québécois. Me David Bessette, bien qu’un ardent défenseur de la libre entreprise et conscient des défis financiers et économiques que représente la syndicalisation au sein d’une petite et moyenne entreprise (PME), étant lui-même propriétaire d’une entreprise, a un respect indéfectible pour les personnages qui se battent pour leurs convictions et qui ont façonné l’histoire du Canada et du Québec, comme Michel Chartrand, brillant syndicaliste s’étant toujours battu pour ses convictions. Nous vous invitons à lire la version abrégée de sa biographie pour comprendre le rôle qu’a joué le syndicalisme dans la politique québécoise et canadienne : http://www.encyclopediecanadienne.ca/fr/article/michel-chartrand/
D’autres diront, à tort ou à raison, que les syndicats peuvent décourager les entreprises à poursuivre leurs activités au Québec en ce qu’elles imposent une lourdeur administrative et des conditions salariales parfois trop élevées pour que les entreprises restent concurrentielles en Amérique du Nord. Un exemple est la fermeture du Walmart de Jonquière après que des employés se soient syndiqués : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/710865/walmart-entente-principe. En 2015, il est à noter que le Québec a la plus grande présence syndicale en Amérique du Nord avec un taux de présence syndicale à 39,6% versus 29,4% dans le reste du Canada et de seulement 12,3% aux Etats-Unis. Pour les intéressés, veuillez consulter le lien suivant : https://www.travail.gouv.qc.ca/fileadmin/fichiers/Documents/presence_syndicale/2015.pdf
Aujourd’hui, la liberté d’association et le droit de se syndiquer sont des droits et libertés fondamentales universelles reconnus sur la scène internationale, et au Québec, non seulement dans les lois du travail incluant le Code du travail du Québec, mais également dans la Charte canadienne des droits et libertés et la Charte des droits et libertés de la personne du Québec. Bien que le taux de syndicalisme soit légèrement en baisse au Québec comme en Amérique du Nord depuis plusieurs années, force est de constater qu’une bonne proportion des employés québécois sont toujours syndiqués. Les grandes entreprises syndiqués et les propriétaires de PME doivent dans un tel cas transiger avec un syndicat représentant les employés, tant pour la négociation de la convention collective que pour le règlement des conflits, ou de griefs dans le jargon du droit du travail. Nous pouvons vous conseiller tant à l’étape de la demande de syndicalisation que pour la représentation devant un arbitre de griefs. Il nous fait plaisir de décortiquer pour vous le processus de syndicalisation, de négociation de la convention collective et de l’arbitrage des griefs.
D’autres diront, à tort ou à raison, que les syndicats peuvent décourager les entreprises à poursuivre leurs activités au Québec en ce qu’elles imposent une lourdeur administrative et des conditions salariales parfois trop élevées pour que les entreprises restent concurrentielles en Amérique du Nord. Un exemple est la fermeture du Walmart de Jonquière après que des employés se soient syndiqués : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/710865/walmart-entente-principe. En 2015, il est à noter que le Québec a la plus grande présence syndicale en Amérique du Nord avec un taux de présence syndicale à 39,6% versus 29,4% dans le reste du Canada et de seulement 12,3% aux Etats-Unis. Pour les intéressés, veuillez consulter le lien suivant : https://www.travail.gouv.qc.ca/fileadmin/fichiers/Documents/presence_syndicale/2015.pdf
Aujourd’hui, la liberté d’association et le droit de se syndiquer sont des droits et libertés fondamentales universelles reconnus sur la scène internationale, et au Québec, non seulement dans les lois du travail incluant le Code du travail du Québec, mais également dans la Charte canadienne des droits et libertés et la Charte des droits et libertés de la personne du Québec. Bien que le taux de syndicalisme soit légèrement en baisse au Québec comme en Amérique du Nord depuis plusieurs années, force est de constater qu’une bonne proportion des employés québécois sont toujours syndiqués. Les grandes entreprises syndiqués et les propriétaires de PME doivent dans un tel cas transiger avec un syndicat représentant les employés, tant pour la négociation de la convention collective que pour le règlement des conflits, ou de griefs dans le jargon du droit du travail. Nous pouvons vous conseiller tant à l’étape de la demande de syndicalisation que pour la représentation devant un arbitre de griefs. Il nous fait plaisir de décortiquer pour vous le processus de syndicalisation, de négociation de la convention collective et de l’arbitrage des griefs.